» Catégorie : sagesses et équilibre de vie
Nettoyage de Printemps !!!
Commentaires » 0De la patience !
Qui a envie d’avoir de la patience !!!
On veut tout maintenant. Et d’abord pour la raison qu’on l’a bien mérité, ce qui est souvent vrai. Mais voilà, vous pouvez planter la graine, mais pas la faire éclore, c’est en tout cas ce qui se dit en Inde et aussi dans le milieu des jardiniers…
Pourquoi ? Parce que celui/celle qui lance un projet, qui désire quelque chose n’est pas encore celui ou celle qui pourra le vivre. Tout cela demande du temps, un peu comme si vous aviez besoin que les choses que vous désirez se fassent de la place également à l’intérieur de vous. Souvent, nous désirons des choses que nous ne pourrions pas gérer si elles arrivaient, en tout cas telles que nous les souhaitons… Alors le temps sert à préciser notre désir, à comprendre pourquoi on le souhaite, à l’affiner et souvent aussi à se faire les forces qui seront nécessaires quand il se réalisera.
La sagesse indienne vous dira deux choses :
- Tout ce que nous désirons du plus profond de nous-mêmes se produit : si vous émettez des pensées de désordre, de troubles, d’impatience, c’est également ça que vous récupérez
- Chaque fois que quelque chose arrive dans notre vie, en réalité, nous devenons une nouvelle personne. Et en réalité, il faudrait accepter de tout changer dans notre existence chaque fois que quelque chose nous impacte… Comme si la vie nous demandait d’aller avec elle au bout du geste !
De la patience, mais alors de la bonne manière : occupez tout le temps disponible entre votre désir pas encore réalisé et maintenant à mettre en ordre, non pas vos placards, mais vos vies, débarassez-vous de tout ce qui ne vous convient plus exactement
C’était un petite message sur le grand nettoyage de printemps !
Trouver votre voie…
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On a tous fait cette expérience détestable que toute joie porte de manière latente un potentiel négatif qui ne demande qu’à s’activer sitôt que les conditions sont favorables.
Pour prendre un exemple basique, si on est resté longtemps au soleil, c’est là qu’on a tendance à avoir plus froid quand tombe le soir…
Et bien sur, ça vaut aussi pour les sentiments.
Etre auprès de quelqu’un qu’on aime peut être plus complexe que de n’aimer personne
Mais ce n’est pas le bon choix !!!
Parce que le fait de se sentir vivant, suppose justement d’accepter de se mettre ou de se remettre en jeu, quel que soit les dangers que ça fait courir !
Pratiquement, de nombreux « guides routiers spirituels » se sont penchés sur la question de savoir comment sortir de ses émotions si destructrices qui nous donnent envie de mourir pour un rien.
On cherche tous des conseils sur comment vivre et surtout quand on rencontre une difficulté, sur comment en sortir (c’est humain : personne ne cherche la solution d’un problème qu’il ne rencontre pas !!!)
Nous sommes en chemin, mais on ne sait vers quoi. Et d’ailleurs, on ne sait même pas si on va vers quelque chose…
Vivre mieux est le premier objectif qu’on se pose, mais voilà que plus on avance, plus la vie multiplie les urgences à régler. Bref, dès qu’on a un problème, il a tendance à prendre une priorité absolue sur tout le reste. Et la vie devient une sorte de quête continuelle justement pour remettre en équilibre ce qui vient de tomber par terre…
On ne gère que les urgences et on oublie de savoir ce qu’on pourrait vouloir sur du long terme
La première chose qu’on vous conseille dans les livres : c’est de vous frotter les mains à chaque nouveau problème.
Pourquoi ? Parce qu’un problème qui se pose a deux objets :
- Le premier, c’est de vous donner une occasion en réalité de résoudre quelque chose de profond en vous (dont vous aviez ou pas conscience) et qui vient au jour pour qu’on lui apporte une réponse différente.
- Le second, c’est que le problème vous explique que l’équilibre que vous aviez trouvé n’est plus valide.
Mais pourquoi une solution Spirituelle : parce qu’au lieu de tenter de courir derrière le fait de résoudre le problème, vous allez déjà vous demander :
1) Pourquoi ça vous arrive d’avoir cette situation à régler
2) Puis d’accepter le principe de changer quelque chose dans votre vie
Et oui, en gros, toute crise suppose une transformation. Le secret est aussi de savoir qu’une transformation intérieure n’est jamais réalisée si elle ne s’assortit pas d’un changement réel extérieur.
Avez vous de la chance?
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On me demande souvent comment savoir si vous avez de la chance ? Comment savoir si la vie va vous sourire… La première constatation à faire sur la chance, c’est qu’elle part d’une attitude dans la vie : il faut avoir confiance que les situations, vos interlocuteurs, vos partenaires ne sont pas là pour vous enfoncer mais pour vous donner une occasion de vous améliorer ou d’aller plus loin vers ce que vous souhaitez. Mais si la situation est adverse, si votre vis-à-vis est de mauvaise foi, alors c’est vers vous que se tourne la vie. Qu’est-ce que vous voulez ? Quels sont les efforts et la motivation que vous manifestez ? Qu’est-ce qui vous bloque ?
Au premier niveau, la chance est avant tout le fait de savoir de ce que vous voulez et de ne pas avoir peur de vous lancer pour y parvenir. Vous lancer, ça suppose risquer de perdre et vous mettre en jeu. Vous mettre en jeu, ça suppose changer vos habitudes et vous mobiliser pour réussir ce que vous voulez. Si vous ne voulez rien, vous n’aurez jamais de chance. Si votre vie vous est un enfer dont vous voulez à tout prix échapper, là encore, la chance aura bien du mal à se faufiler parce que de toute façon, la pente à remonter sera trop lourde. La chance n’est que le clin d’œil qui arrive pour couronner une vraie volonté, l’envie d’agir et de réussir. La chance ne vient également qu’aux personnalités pro actives. Vous n’aurez pas de chance si vous demeurez globalement peureux ou passif. La chance ne vient jamais non plus à ceux qui se plaignent tout le temps et qui se sentent victimes. Certes vous pouvez subir quelqu’un, quelque chose, mais votre réaction doit vous sortir du rôle de victime. Si vous vous sentez mal, c’est que quelque chose est à comprendre et si vous avez tout compris, c’est que quelque chose est à changer. Comprendre ne suffit pas si on doit changer et changer ne suffit pas si l’attitude qu’on a bloque tout le reste.
Un excellent livre
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Difficile d’expliquer ce qui fait la différence d’un livre. Celui ci parle du bouddhisme et du bouddha, il enseigne la méditation et donne des exemples sur des gens ayant eu à passer au travers de problèmes parfois graves. Ce livre a une thématique courante aujourd’hui et son titre pourrait faire penser qu’il existe déjà (donc pas utile de publier à nouveau quelque chose sur le même thème). Et bien, c’et faux, ce livre est totalement exceptionnel, rien de ce qui s’y trouve ne peut l’être ailleurs, c’est comme si chaque mot était vivifié, porté par un cheminement, une expérience qui nous enseigne en profondeur et nous guide. Toutes les expériences qui sont rapportées nous semblent éclairantes et très nettes quant à ce qu’on peut en tirer. Bref, l’impression d’apprendre, de comprendre, d’avancer, de vaincre nos résistances intérieures est partie intégrante de ce livre. et bizarrement, c’est très compliqué de le fermer, comme un roman passionnant, on a envie de le garder avec nous comme un compagnon qui aurait encore à nous dire. Donc si vous avez besoin d’aide ou de comprendre parce que vous êtes à un stade où c’est nécessaire, c’est LUI qu’il vous faut impérativement…
Epuisé?
Commentaires » 0J’ai déjà eu l’occasion d’aborder ce thème de la fatigue qui nous submerge. Il faut comprendre notre vie comme un tout, chaque élément a sa place et est relié aux autres de l’intérieur. Ce qui signifie que même si vous ne voyez pas comment et pourquoi, en réalité, tout se tient. De ce fait, quand une parcelle de notre vie commence de fonctionner de manière exagérée ou autonome, on se retrouve confronté à un phénomène où l’énergie qui est normalement centralisée par l’échangeur global que nous sommes, est fragilisé. Dans cette mesure, on peut dire que quelque chose dans notre vie ne parvient pas à fonctionner avec nous mais se rebelle contre nous.
Bien sûr, il faut parvenir à identifier ce que c’est et surtout mettre en oeuvre les mesures d’urgence nécessaire pour s’en débarrasser. Notre monde intérieur ne peut admettre aucune fausse note et nous sommes en fragilité à partir du moment où nous acceptons de faire une exception.
alors il faut reprendre les choses dans l’autre sens, une fatigue exagérée indique un problème non réglé dans notre vie, ce problème doit faire l’objet d’une mesure prioritaire de façon à être résolu. A partir de là, la fatigue qui en vient disparaîtra puisque nous nous remettrons en accord profond avec notre vie.
Ces évènements qui nous changent
Commentaires » 0Nous savons tous que les solutions excellentes trouvées pour hier ne vaudront rien pour aujourd’hui et encore moins pour demain. Ce processus d’adaptation constante requis par la vie est littéralement épuisant (ou…) en tout cas, requis pour arriver à garder le cap sur le fait d’être nous-même et en même temps d’intégrer suffisamment du monde extérieur pour trouver un autre équilibre personnel. Nous avons tous tendance à pratiquer un blocage alternatif.
Soit nous essayons de ne plus changer : »j’ai toujours fait comme ça et ce n’est pas aujourd’hui que je ferai autrement »
Soit nous essayons de nier que le monde nous propose autre chose : »oui, j’ai rencontré la femme idéale, mais je suis marié avec cinq enfants donc tant pis »
L’adaptation est obligatoire. A contrario, si vous essayez de ne plus vous adapter ou de nier le monde, vous allez voir avec surprise que la vie vous représente vingt cinq fois les mêmes dilemmes jusqu’à que vous acceptiez la nouvelle donne.
L’idée, c’est que selon la position de votre lune natale, vous n’aurez pas le même genre de problèmes à gérer. Si vous avez une lune en terre ou en feu, vous risquez fort de proposer les mêmes solutions (vous même) à des situations variées. Et si vous avez une lune en air ou en eau, vous aurez au contraire tendance à vous perdre dans le renouvellement des circonstances.
Pour trouver votre propre guide, il importe donc de voir de quoi vous partez en réalité et de vous y tenir, c’est à tenir d’avoir conscience du vrai problème. Donnons un exemple par élément
Une lune en cancer aura tendance à s’adapter d’un coup à une situation alors qu’elle y aura été totalement fermée avant, ce qui fait que la malléabilité une fois la réserve passée sera à son maximum (ce qui rend très vulnérable ne fois la nouvelle situation installée, parce que rien ne dit qu’elle convienne vraiment)
Une lune en bélier se jettera en avant mais ne changera rien à sa perception profonde des choses (ce qui en fait aboutit souvent au fait de rejeter une situation au lieu de l’intégrer comme on pourrait le croire)
Une lune en capricorne fonctionnera en autarcie indépendamment du monde extérieur et s’il doit changer prendra un contrepied absolu ( ce qui n’était pas forcément nécessaire)
Une lune en verseau écoutera avec beaucoup d’intérêt un point de vue opposé au sien et sera capable de franchir un cap rapidement (mais peut être que fondamentalement ça ne lui convient pas du tout)
Nous voyons donc qu’il est important de savoir quel est notre pire travers avant de faire un grand examen de conscience
Le zen…
Commentaires » 0Pourqupi le zen avec sa manière de vous dire, prenez le temps de ne faire que ce que vous êtes réellement en train de faire, laver votre bol en faisant un avec le bol, marchez en ayant conscience de vos pieds sur le sol, sentez la brise (glaciale) sur votre visage, pourquoi le zen nous semble t il une véritable possibilité, une ouverture vers l’essentiel? Sans doute parce que dans ce monde saturé de mental et de virtuel, nous commençons sérieusement d’étouffer. Que se passerait il si nous surveillons, par exemple à l’´échelle d’une journée, le fait de cesser de brasser des idées, sentiments et sensations inutiles. Et bien, on tombe dans un ennui profond. Plus besoin de se demander avec marie charlotte si edward va quitter rosalie, et d’apporter des indices à ce fait fondamental, qui ne nous concerne pas, mais donc que va t on faire? Il ne s’agit plus d’être dans le fait de nourrir notre pôle subjectif, virtuel, mental, mais de tenter d’être dans l’objectif, tailler sa haie, repeindre une fenêtre, jouer du piano, aux domino, faire un gâteau. Faire plutôt que penser. En fait, nous parvenons avec l’excès de brassage mental à la certitude inverse, ça ne sert à rien de commenter. Commenter, tweeter, facebook sont des avale vies, les relations ne sont pas virtuelles, ça ne sert à rien un ami virtuel, commenter, mais pourquoifaire, penser est constructif mais prend du temps. Le zen indique ainsi comment sur une journée qui serait votre test, vous ne feriez plus le moindre effort pour brasser du vide, mais n’ayez pas peur non plus de l’impression de vide épouvantable qui en naîtra. Se retrouver sans sphère de fantasme est très angoissant et pour cela, pas besoin de s’asseoir sur un tatami…
Modele !
Commentaires » 0Notre monde produit des modèles. Vous avez du mal à prendre une décision, et voici un échantillon de modèles pour vous y aider ( parmi mes favoris)
La matrice BCG : pour évaluer si coûts et bénéfices dans votre vie sont bien évalués…
Les vaches à lait, rapportent mais ne portent aucun projet
les Vedettes, rapportent beaucoup et progressent sans cesse
les Dilemmes, c’est rentable? Non. Mais un jour peut être
les poids morts, mieux vaut s’en débarrasser, ça coûte sans rien rapporter.
Vous pouvez lire votre réalité professionnelle, amicale, financière à l’aune des ces distinctions, le problème ici va par contre être de parvenir à déterminer qui est quoi dans votre vie, parce que en clair, si vous aviez d’emblée ce qui est positif ou pas, vous n’auriez pas besoin du modèle ) en revanche, ce qui peut intéressant sur ce schéma, est d’arriver à voir ce qui a une part de progression dans votre vie et bizarrement, je l’ai trouvé particulièrement performant en domaine affectif !!!
Voici une méthode pour organiser votre temps, faites une liste de ce qu’il y a à faire, mais au lieu de la contempler ( comme on adore tous faire) tâchez de commencer par ce qui n’est pas urgent et prendre un item à la fois, une fois le non urgent gérer, les urgences ont tendance à se décanter d’autant mieux.
J’aime bien pour finir le modèle de résolution des conflits :
1. Fuite (toujours possible mais pas très satisfaisant car on perd tout, sauf son énergie)
2.combat (on veut gagner, autrement pourquoi se battre, donc on risque de perdre, et si on a mal évalué la situation, on perd énormément)
3. Abandonner(variante sur la fuite, plus immobile et encore moins satisfaisant, puisqu’on donne à l’autre la victoire) ça donne à penser sur le fameux lâcher prise dont on nous fatigue constamment… Qu’est ce de plus qu’un abandon?
4. Esquiver ses responsabilités, donc laisser un autre décider, vous ne serez pas content mais au moins vous pourrez vous plaindre. Si c’est votre mode de fonctionnement, changez en, c’est un rôle de victime que vous vous donnez.
5. Compromis. Ce n’est qu’une des solutions possibles à un conflit mais pas la meilleure, au moins vous vous gardez une prise pour rediscuter les termes du contrat une autre fois.
6. Consensus, c’est la dernière, donc la meilleure, une solution nouvelle est trouvée, fruit d’une intense réflexion
Ce modèle a redécouvert la voie du milieu de confucius, mais qui sait si son auteur le sait…
Développement personnel, Kézaco?
Commentaires » 3Se développer personnellement semble aujourd’hui une sorte d’eldorado. Oui, parvenir à déployer nos potentialités qui ne sont pas forcément cachées (ou pas tant que ça en tout cas) peut être fabuleux, car donner accès à des pans de réalité qu’on n’aurait pas atteint autrement, mais souvent le développement personnel nous maintient dans une sorte de logique hybride où on tente de se découvrir autre qu’on est et de s’inventer une vie différente. Sachez, même si ce peut être dur à entendre que ce n’est pas parce que vous n’avez pas confiance en vous que vous ne faîtes pas certaines choses, mais avant tout parce que la vraie motivation manque. Cette idée d’une motivation fondamentale a besoin d’être réactualisée régulièrement (chaque jour), en revanche, elle est le fondement des efforts qu’on peut faire.
La motivation profonde est de deux ordres :
La première relève de la survie, vous n’avez pas le choix parce que la vie n’offre pas le choix de savoir si on va ou non choisir de manger ou pas. vous ne voulez pas manger? Vous avez fait un choix qui atteint le principe même de la vie. Cette motivation là est en général fondée sur la peur. La roue des maisons l’exemplifie parfaitement : Vous avez peur de ne pas avoir, d’identité (maison 1),de sécurité ou d’argent (maison 2), d’amis (maison 3), de famille (maison 4), quelque chose qui vous appartienne en propre et qui vous donne une envie de vivre à fond (maison 5), une bonne santé (maison 6), un compagnon/une compagne (maison 7), une sexualité, un pouvoir sur la vie (maison 8), une belle carrière, un chemin de vie passionnant (maison 9), un métier qui vous ressemble (maison 10), un réseau dans lequel vous épanouir (maison 11), une dimension spirituelle ou de magie (maison 12).
Nous n’avons pas tous toutes les peurs (heureusement) mais certains sont très fortes (liées à notre axe des noeuds) et à notre lune noire, nous les remettons en oeuvre régulièrement.
L’autre motivation passe par le désir, rien d’étonnant, elle est beaucoup plus compliquée à ressentir. C’est dans la plupart des cas par peur ou manque qu’on se met en mouvement et le surcroît est perçu comme inutile. Réfléchissez au fond qu’est-ce qui va vous faire croire qu’il faut consacrer du temps à quelque chose dont vous jugez que ce n’est pas forcément utile. ce sera très difficile de l’admettre et de le croire. surtout de dégager du temps et des efforts.
Pour atteindre cette motivation fondée sur le désir, il faut effectivement avoir recours au développement personnel, c’est à dire prendre conscience qu’on est atrophié et que ça ne peut demeurer tel, mais ensuite, ce superflu qu’on ressentait deviendra viscéral et donc plus difficile à vivre, parce que si vous vous rendez compte que dans votre cheminement de développement personnel, il faut savoir jouer du saxophone, le fait de ne pas vous y mettre chaque jour va générer de l’angoisse, de la culpabilité et autres réflexes mentaux d’auto coaching, loin d’être un signe que vous êtes dans la mauvaise direction, cela peut signifier que vous avez changé votre perspective de vie et que vous y avez adjoint d’autres nécessités.
bonne route vers vous-même…
Comment allez vous?
Commentaires » 0Quand on pose cette question en occident, la réponse attendue est quelque chose qui commence par « je », et répondre autrement peut sembler particulier. Dans les civilisations traditionnelles, pour les personnes d’un certain âge ou dans des structures un peu particulières, type monastère, la réponse que vous obtiendrez commencera par « nous ». Ce n’est pas qu’un tic de langage, ce qui est admis, c’est que quelqu’un ne peut pas aller bien si un membre de son entourage proche et aimé ne va pas bien, aussi la réponse « nous n’allons pas pas bien parce que géraldine va mal » prend toute son ampleur, ce n’est pas que quelqu’un d’autre aille mal, et qu’on ne veut pas parler de nous, c’est qu’on va réellement très mal à cause de quelqu’un qu’on aime et que tant que cette personne là ne va pas bien, on ne va pas pouvoir se remettre à se sentir au top. Peut être qu’au lieu de se fonder sur soi, il faudrait faire le travail inverse et ré apprendre à accepter qu’on fonctionne à plusieurs et pas comme une île isolée au milieu des autres.