L’astrologie au service du développement personnel

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extraits de « la petite voix »

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fleurscerisier.jpg Extraits de La Petite Voix, d’Eileen Caddy : 

« Toutes les grandes choses ont de petits commencements. Le puissant chêne est issu d’un gland minuscule. D’une petite graine surgissent les plantes et les graines les plus merveilleuses. Une minuscule graine d’amour peut changer bien des vies (…) Sois reconnaissant pour toutes les petites choses dans la vie, ensuite, alors qu’elles croissent, tu seras reconnaissant pour chacune d’entre elles »

Ce qui importe dans ce passage, c’est de savoir qu’il faut prêter une très grande attention AUX COMMENCEMENTS, ainsi quand on débute quelque chose, peu importe que ça a l’air minuscule, ce qu’il faut, c’est que ce soit parfait et avoir conscience, qu’un jour les efforts qu’on fait dans une direction pour obtenir quelque chose porteront tous des fruits. Ainsi, si vous commencez une histoire amoureuse, en acceptant tout pour avoir la personne que vous aimez, vous le regretterez. L’équilibre doit être mis en place dès le début. Par ailleurs, il ne faut jamais négliger le moment présent, au lieu de se désespérer qu’on ne peut rien accomplir d’immense, il faut essayer simplement de faire tout ce qu’on peut, au moment clef. 

« Il y a beaucoup à faire, mais tu dois apprendre à canaliser tes énergies dans la bonne direction et à ne pas les gaspiller en papillonnant dans de nombreuses activités. C’est bien mieux d’apprendre à faire une chose et de la faire parfaitement que de te complaire dans beaucoup et de les faire mal »

Tout le monde sait qu’il ne faut pas s’éparpiller, c’est un conseil aujourd’hui courant, mais ce que cela signifie, c’est qu’il faut se fixer des objectifs et atteindre un niveau que l’on souhaite, avant d’apprendre quelque chose d’autre. Pourquoi ? parce que l’estime de soi ne fonctionne qu’au résultat, ce qui fait que pour parvenir à quelque chose qui nous convienne, il faut raisonnablement y passer du temps et qu’on ne peut pas passer du temps à plusieurs choses. Il est donc important de se fixer des objectifs et de savoir concentrer ses efforts. On va beaucoup plus vite à finir quelque chose qu’à en commencer plusieurs et à ne rien pouvoir en tirer mentalement en terme de fruits. Ce qu’on recherche quand on accomplit quelque chose, c’est d’avoir la fierté de s’en être rendu maître et la joie d’avoir acquis une compétence. Or, rien de cela n’est possible si on ne se concentre pas. 

La Petite voix

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Dans son livre La Petite voix, Eileen Caddy a rassemblé un certain nombre de messages, reçus peut-être d’une sagesse intérieure, peut-être de messagers divins comme elle le suggère. Ce livre est organisé sur le principe aujourd’hui courant mais qui l’était moins à l’époque d’une méditation quotidienne. Vous n’y trouverez pas des conseils de vie, mais plutôt des inspirations pour être plus heureux et plus équilibré dans votre rapport… au sens de la vie. Tout se ramène à l’être humain, à la personne que vous êtes et qui a besoin de savoir où elle va et pourquoi A la personne en vous qui  a besoin de plus qu’un lot quotidien de soucis et de joies. Parfois, en lisant ces pensées, on a la sensation de lire un texte très ancien, comme une transcription de la Bible, parfois on croit lire un livre pour devenir un sage, et parfois on trouve dans la pensée du jour juste la réponse à un problème dont on ne se sortait pas. La réponse aussi variée soit-elle, nous ramène toujours à un recentrage sur l’essentiel. Qu’est-ce qui, dans notre vie, compte réellement ? quelle hiérarchie dans l’importance des choses doit être faite ? qu’est-ce qui fait qu’on se sent au terme d’une journée plus riche et plus accompli qu’en la commençant ? Ce livre nous amène aussi à voir en quoi la simplicité de cœur et d’âme est essentielle à notre fonctionnement et combien nous avons besoin de comprendre que nous avons une force énorme qui est celle d’avoir surtout besoin de ce qu’on peut donner ou produire, beaucoup plus que de ce qu’on reçoit.

A demain pour quelques extraits du livre…

Léonard de Vinci : du Bien au Mal

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prym.jpg Voici encore une petite histoire et encore tirée de ce livre que je n’ai pas trop aimé (qu’est-ce que ça aurait été si ça avait le contraire ? Langue ) de Paolo Coelho, et je crois bien qu’elle est authentique.

Léonard de Vinci était en train de commencer son fameux tableau La Cène et il avait besoin d’un modèle pour Jésus. Arpentant les rues de la ville dItalie où il se trouvait (je ne sais si c’est Florence ou Venise) il vit un jeune homme d’une grande beauté, son regard translucide semblait posé, tel un ange ou un sage, sur les choses, avec la grâce pure de l’enfance. Léonard enrôla le jeune modèle, puis fidèle à ses habitudes, reprit saon cheval, son Salaï et s’en fut dans une autre ville, emportant le tableau inachevé… Quelques années après, il voulut finir son tableau et cherchait un modèle pour l’infâme Judas Isacariote, nul ne faisait l’affaire et soudain il trouva un homme encore jeune décavé, portant le fils dans les moindres traits de son visage, dur, et plein de mépris et de rancoeur mêlés. Celui-ci, entrant dans l’atelier s’écria : Mais j’ai déjà vu ce tableau ! Léonard lui rétorqua : « impossible, nul ne l’a vu depuis que je l’ai commencé ».  »Mais si, insista-t-il, c’est moi qui ai servi de modèle pour Jésus, voici quelques années ! » 

Où commence le bien? Où le mal se manifeste t il? L’un n’est il pas le continuum de l’autre ou est-ce la vie qui nous façonne de ses évènements et de nos désirs?

Tout cela fait assurément réfléchir.

Ou sont vos dragons?

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elements.jpgTom Robbins, auteur de « another roadside attraction » (encore un détour passionnant…) explique que nous avons tous quelques dragons en stock avec nous auxuquels il faut faire attention. Peut être que votre dragon adore le shopping et qu’il enfonce votre budget, peut être qu’il veut maigrir et n’arrive pas à résister aux sundays chocolat, peut être enfin qu’il est terriblement pessimiste et qu’en sa compagnie, vous avez l’impression de vivre dans un drame permanent… Quoiqu’il en soit, il va falloir faire du dressage… En somme, arriver à identifier que ce dragon qui a comportement qui vous éloigne de la vie que vous voudriez avoir, existe parce que vous le nourissez régulièrement. Pourquoi est-il là? bien sûr pour une forme de compensation. Dépenser, trop manger, ressasser les peurs, vous rendre malade de stress, tout cela aide au fond à ne pas prendre la mesure d’un manque plus radical dans votre vie. Au fond, la vie que vous menez ne vous rend pas heureux, et c’est pour cela que vous élevez des dragons… mais en réalité, tout cela devient vite encombrant… Une des aides psychologiques pour arriver à se sortir d’un problème est de parvenir à le nommer et à prendre déjà conscience que le problème n’est pas nous, mais une sorte d’excroissance qui nous a servi de bouclier. Vous ne ferez plus de détours dans votre vie si elle commence à vous plaire, à vous amuser et que vous vous y sentez complètement comblés. Même si c’est politiquement incorrect de dire cela, si vous mangez trop, ce n’est pas en faisant un régime que vous maigrirez, mais en ayant quelque chose dans la vie qui vous intéresse et vous apporte plus de bonheur que de manger…

Le demon et mademoiselle Prym

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prym.jpgDans le Démon et mademoiselle Prym, Paulo Coelho se pose la grande question de savoir si l’homme est naturellement tourné vers le mal ou vers le bien, vaste problème… Conçu comme un huis clos, son livre tourne rapidement à la théorie philosophique, hésitant entre connaissance sacrée et poncifs de la spiritualité. Deux choses sont pourtant à noter dans cet ouvrage : la première, c’est de se poser réellement la question de savoir ce qu’on fait, ce qu’on peut faire quand l’espoir est perdu et qu’on doit pourtant continuer de vivre. Continuer de vivre en accrochant son coeur à un idéal qu’il faut construire, puisqu’il n’est plus donné par l’évidence de l’existence. A chacun de répondre. mais la force du récit de Paolo Coelho est de suggérer qu’il faut se poser la question avant que l’évènement dramatique ou traumatique nous arrive…

La seconde chose est un conte que narre Coelho. Un homme cherche le paradis, et voilà qu’il marche dans la montagne avec son chien et son cheval, il arrive devant un oasis et on lui dit que c’est là, il y a une merveilleuse eau à boire, fraiche et bleue, mais le « gardien » à l’entrée lui indique qu’il ne peut rentrer avec ses animaux, ce qui en viendrait à les condamner à mourir de soif. Le personnage refuse, car il ne peut abandonner ses bêtes à leur sort. Il continue de marcher et trouve un autre endroit avec de l’eau, il boit et donne à boire à ses animaux, et questionne l’homme qui est là sur le nom de ce lieu.

- c’est le paradis, lui dit il

- mais ce n’est pas possible, je l’ai déjà croisé sur ma route et il était plus bas

- Non, c’est l’enfer en fait. Mais c’est très commode que les gens pensent que c’est le paradis, ça nous fait le triage nécessaire car celui qui est capable d’abandonner ses fidèles compagnons n’est pas digne du paradis…

Nos valeurs sont nos seuls guides dans l’existence… et ce sont elles qui peuvent nous mener vers le Sens et la joie.

La PNL… ça marche !!!

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pnlpourlesnuls1.jpgLa PNL ou programmation neuro linguistique, fait partie de ces nouvelles méthodes censées transformer la vie d’un individu, bien plus rapidement qu’une longue psychanalyse.  Elle travaille sur le fait de rendre harmonieux l’expression de nos désirs et leurs réalisations. Elle est fondée sur le fait qu’un individu persuadé de son échec ne réussira effectivement pas, alors qu’un autre certain de ses chances aura bien plus de possibilités de passer au travers des écueils.

Notre inconscient peut être façonné par notre manière de nous exprimer et de formuler nos vœux. Nous sommes, en tant qu’êtres humains, aptes à réaliser des objectifs, à condition de ne pas nous mettre, à priori, en rejet ni dans l’impossibilité de les atteindre.

La sentence de Lincoln : faire tout ce qu’on peut avec tous les moyens qu’on a de disponible et dès à présent, est une sorte de ligne directrice.

Si notre façon d’agir et de nous comporter n’a pas donné les fruits attendus, c’est-à-dire permis d’atteindre nos objectifs, il faut changer notre manière d’être pour avoir la vie qu’on souhaite.

La PNL fonctionne ainsi sur un retournement intérieur : ce ne sont pas les buts qu’on ne parvient pas à atteindre, mais ce qu’on est qui nous empêche de voir la bonne manière de s’y prendre. En modifiant la manière, on parvient à changer de vie…

Ce qui est étonnant c’est que la PNL se fonde sur des réflexes physiologiques. Si on a des points de repères inconscients inscrits dans notre corps, on ne parviendra pas à se changer de façon d’être sans changer ces points d’ancrage. Nous devons agir avec notre propre personnalité comme Pavlov avait programmé ses chiens. Nous sommes fondamentalement des être d’habitude, mais nous devons tourner cette évidence à notre avantage au lieu d’en subir les effets indésirables de manière passive…

L’ouvrage dans la collection « pour les nuls » constitue une excellente introduction à cette technique…

Critique de la raison pure et astrologie !

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Kant avait bien raison dans la Critique de la Raison Pure, d’expliquer que nous sommes des structures à priori qui recevons l’expérience secondairement. Ce qu’il voulait dire, par les formes spatio-temporelles qui nous constituent, c’est que lorsque nous faisons une expérience, nous venons naturellement l’inclure et l’interpréter dans le cadre de notre pensée : c’est-à-dire dans une logique de cause à effet qui prédomine dans notre esprit ( = nous sommes habitués aux certitudes qu’une cause donnée engendre un effet donné. Ce qui au passage, est évident dans la sphère matérielle : je lance une balle, elle rebondit sur le mur, mais moins dans la sphère affective : je ne réponds pas au sms de Magali, c’est ça qui la fera passer me voir). Cette logique immanente à notre fonctionnement est impalpable. Nous vivons d’après ses lois, mais nous ne la rendons jamais consciente. Ce manque de conscience n’est pas d’une grande aide en cas de crise, où justement, ce sont les tous les pré acquis et toutes les expériences que nous devons ramener à notre esprit de façon à réfléchir sur des bases solides et fixes.  Nous sommes ainsi des centrales de transformations, réductions et analyses immédiates de l’expérience qui fait qu’on se trouve automatiquement dans un monde et une réalité faite à notre image, où nous ne voyons jamais que le similaire à nous-même : justement parce que nous le fabriquons sans cesse, et non pas parce qu’il est tel. 

L’enfermement dans notre vision du monde est certainement une des plus grandes racines de la souffrance humaine.  L’astrologie a au moins cette capacité à purger le mental de son enfermement en lui-même pour essayer d’ouvrir à des dimensions autres, voire étrangères, puisqu’on comprend, en tant qu’astrologue, que quelqu’un puisse réagir fondamentalement autrement que nous. Ce qui est à noter, c’est qu’on le comprend, l’intégrer est une autre histoire… On peut se dire qu’on l’admet avec plaisir et respect de ceux qui nous sommes indifférents mais pas de nos proches dont on attend une réactivité au fond semblables à nous : on veut d’eux qu’ils enrichissent notre propre vision du monde au lieu de la challenger. 

Brave Story… une source de sagesse?

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Le Manga Brave Story, tiré de l’œuvre originale de Miyuki Miyabe, raconte l’histoire d’un petit garçon dont la mère se suicide après le départ de son père. Point de départ banal mais qui ouvre la porte, c’est le cas de le dire, à une autre dimension : celle du monde de VISION, qui est comme le suggère cette appellation le pendant du monde dans lequel on vit qui est le monde du REFLET. Cette œuvre n’est pas sans rappeler l’histoire sans fin, qui faisait elle aussi le récit d’un monde où l’imaginaire prenait source.

Dans Brave Story, le héros a un enjeu : formuler un vœu qui changera son destin. Mais au fur et à mesure de ses aventures, il se rend compte que chacun a un chagrin qui compte autant que le sien propre. Il apprend la sagesse et perd de vue son but. Une fois devant la déesse de la justice, il se rend compte que rien ne peut être souhaité sinon à déséquilibrer l’ordre du monde.

Ce respect du grand système d’interdépendance dans lequel nous sommes embarqués suppose que nous trouvions ce pour quoi nous sommes faits de façon totalement singulière et unique.

Ce principe de cause à effet, de conséquences attribuées à tout ce qu’on fait, est la racine même du bouddhisme. La sagesse nous apprend à faire tous nos efforts, mais à laisser chaque chose, par elle-même, déployer son potentiel.

L’astrologie associée au développement personnel a le même souci : rendre à chaque part de nous-même son champ naturel, de manière à ce qu’il puisse se déployer.

La sagesse est ainsi, pour reprendre cet adage indien «  de savoir ce qu’on peut changer, de savoir de ce qu’on ne peut pas changer et plus que tout, de connaître la différence entre les deux »

La voie du magicien

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J’ai trouvé un livre étonnant qui s’appelle : La voie du magicien, je suis sûre que beaucoup d’entre vous le connaissent.

En fait, j’étais à la recherche d’un livre sur le Graal et Merlin le mage. En dehors de Walt Disney qui est souvent visionnaire, je n’avais rien lu de concluant.

Deepak Chopra a réussi un livre incroyable, il vous met au cœur de l’expérience magique, comme si vous étiez présent, il essaie de comprendre, avec le lecteur le lien entre un homme ordinaire et un mage.

Comme on le sait (ou pas) le mage est plus proche du Sage que du magicien de nos légendes : comment grâce à la modification d’un niveau de conscience, vous parviendrez à devenir maître de vous-même, de vos pensées, puis de votre intellect, puis des phénomènes se produisant dans votre corps…

De quoi avoir envie d’essayer…

Pour des méthodes concrètes, vous pouvez toujours aller lire « les règles d’or de la vie quotidienne » de Omram Michael Aivanhov

C’est de la vraie magie, mais attention, ce sont d’autres efforts qui sont demandés que d’apprendre à varier la couleur de bougies en récitant des vers latins…

Home Yann Arthus Bertrand

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HOME de Yann Arthus Bertrand

Ce film, libre de droit a été projeté sur la tour Eiffel vendredi 5 juin.

Il est un symbole important puisqu’il allie les images somptueuses des 4 coins du monde à la description d’un monde en déclin : la terre nous nourrit mais ses ressources s’épuisent. Ce qui signifie à moyen terme, des problèmes concrets pour la survie de la race humaine.

Un proverbe Améridien dit « la terre ne nous appartient pas, elle est l’héritage que nous laissons à nos enfants »

Mais nous sommes tous aujourd’hui concernés par la bio-diversité, la disparition des ressources fossiles et les famines qui éclatent à la surface du globe.

Nous sommes tous concernés, mais tous impuissants.

Au fond, personne n’est très sûr que le fait d’acheter du papier recyclé ou des yaourts bio va vraiment modifier le destin de déforestation de la zone amazonienne.

Fondamentalement, pour comprendre pourquoi notre action à un impact, il faut revenir au principe bouddhiste d interdépendance : tout ce que nous faisons a un effet sur notre environnement humain et matériel. Impact immédiat et impact dans le temps, c’est comme si nous étions le commencement de chaînes causales, que nous maîtrisons au début, mais qui nous échappent quand elles prennent leur indépendance.   

Aussi, chacun à notre manière se demander si nous pouvons réutiliser, transformer plutôt que d’acheter du neuf.

Se demander si nous pouvons donner, faire par nous-même plutôt de multiplier les besoins a un impact.

La société de consommation est une société porteuse de mort : elle prétend que le bonheur que nous cherchons se trouve dans des choses que nous pouvons acquérir et non, en premier lieu, dans l’équilibre et la joie que nous avons par nous-même.

  

Il reste, à contrario qu’être sur terre signifie aussi tirer parti des ressources qui nous entourent et donc utiliser à bon escient les possibilités que cela nous offre. Aussi, il ne s’agit pas de tourner à un terrorisme bio, mais plutôt d’avoir plus de conscience des chances que nous avons entre les mains d’être nés dans des pays riches et occidentaux et essayer de rendre d’une manière ou d’une autre, autant que nous avons reçu.

 

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